Nous avons organisé le mardi 27 mars la 3ème édition du "Blue Shirt Day".
Le « Blue shirt day » (textuellement : « la chemise bleue ») est une manifestation déjà très populaire dans les pays anglo-saxons. Pour y participer, rien de plus simple : porter un haut bleu pour dire stop au harcèlement et montrer son soutien à ceux qui en auraient besoin.
Cette initiative, mise en place il y a 3 ans avec les lycéens de Charles de Gaulle, n'a cessé de prendre de l'ampleur. Nous sommes toujours plus nombreux, élèves et personnels, à venir vêtus de bleu pour l'occasion. Cette journée est devenue un véritable temps fort de la vie de l'établissement.
Merci à Marine, photographe de la journée, d'avoir si joliment mis en scène plusieurs situations de harcèlement.
La mémoire de la guerre:
Le collège Anne Frank s'est vu décerner pour la 2eme année consécutive le label centenaire.
Ce label vient récompenser un travail mené par les classes de 3emeB et C et de leurs enseignants (Mme le Borgn’, professeur d’Histoire, Mme Kermorvant, professeur de français, Mme le Callonnec, professeur d’art plastique).
A partir du projet du street artiste américain, Mickael Broth, (article sur le site de Télérama, mai 2017), les élèves ont été sensibilisés au devoir de mémoire de la Grande guerre.
Comme ce street artiste, les élèves s’emparent de lieux de la zone de Verdun (photographies) et s’informe sur leur histoire. Il s’agit par la suite d’écrire puis de créer une œuvre plastique exprimant la mémoire du lieu (sculpture pour un lieu).
Les productions seront exposées dans le collège et un voyage sur les lieux viendra compléter le travail des élèves (histoire et mémoire).
La presse en parle:
Dans le Télégramme , et dans le Ouest France.
Le projet : Pour la première fois, le collège Anne-Frank se mobilise pour le Téléthon, organisé à Plescop, les 2, 3 et 4 décembre. L’idée est venue d’Elowan Bihan et de sa professeure, Lénaïck Beven, de la classe Ulis (Unité localisée pour l’inclusion scolaire). Le collégien de 12 ans est atteint de la myopathie Duchêne. « Depuis l’an dernier, nous cherchons une idée qui sortirait de l’ordinaire, et je crois que là, c’est un super-projet », annoncent les deux protagonistes. Le projet s’appelle L’ADN en trombones. L’idée est de générer la plus grande chaîne de trombones possible. Cette opération dure tout le mois de novembre, jusqu’au vendredi 2 décembre. Date à laquelle l’ensemble de la chaîne sera amené à 17 h, par tous les élèves volontaires conduits par Elowan, du collège jusqu’à la place de la Mairie. 9 600 trombones Les élèves de la classe Ulis mettront un compteur de vente de trombones, couplé avec la longueur parcourue et la distance à réaliser. Il faudra 9 600 trombones pour réaliser les 720 m, qui séparent le collège de la mairie. Jeudi, le dispositif de lancement de l’action a eu lieu en présence des élèves, du directeur, Vincent Didier, et de Serge Le Neillon, délégué de l’action sociale et solidaire de la commune, qui encourage l’action du super-défi. « C’est un gros challenge, qui va être réalisé grâce à la mobilisation de tous, précise Serge Le Neillon. Pour que le défi d’Elowan réussisse, on compte sur vous. » L’achat des trombones se fait dans la salle Ulis aux heures de récréations. Elles sont vendues 1,50 € le mètre, soit treize trombones de 7,7 cm et 5 €, les quatre mètres, soit cinquante-deux trombones. « Nous avons besoin d’un ou de plusieurs partenaires pour nous aider à faire l’avance des trombones, explique Elowan. Les dons sont acceptés pour nous permettre de relever ce super-défi, avec un record du monde visé. »